Uit: Emile Laoust:
Contes berbères du Maroc, 1949, uitgeverij. Larosse,
verhaal: LXXI Les mésaventures d′un père. Deel 1 van 7):
Verhaal nummer 16, pagina 21.
In het Frans:
Il avait marié ses sept filles, chacune d′elles dans un igherm différent. Il dit un jour à sa femme: “Allons rendre visite à nos filles, nous ne les avons revue depuis que nous les avons mariées!” Leurs préparations faits, ils partirent; lui, monté sur son ânesse, elle à pied, marchant derrière la bête. En route il fit un accroc à son vêtement; il le répare et le cousant, sans s′en apercevoir, au bât de l′ânesse. A la porte de l′ighrem, ils trouvèrent les gens réunis, et parmi eux leur fille, toute heureuse de recevoir ses parents. Elle s′approcha pour les embrasser, le père sauta de l′ânesse, mais sa blouse restant accrochée au bât auquelle était cousue, il découvrit sa nudité devant sa fille, qui s′enfuit de honte, et devant les gens de l′ighermn que le spectacle amusait. On lui donna de quoi se vêtir, sa fille l′accabla de reproches: “Quel scandale aux yeux des gens”, dit elle. Il ne voulut pas entendre ainsi: “Rends mon fusil, lui dit-il, que je m′en aille chez mon autre fille; toi, tu n′es pas ma fille!”
Ik kan de tekst hieronder niet op juistheid controleren. Het is de transcriptie van het vertelde verhaal in het Berbers (Ntifa). Het verhaal werd verteld aan de Franse onderzoeker Emile Laoust door H. Djïkli in 1922. De transcriptie van zijn verhaal staat hieronder. Ik hoop met het afdrukken van deze tekst de Tamazigt sprekers een plezier te doen.
In Tamazigt: