Luxuria

Uit: Emile Laoust:
Contes berbères du Maroc, 1949, uitgeverij. Larosse,
verhaal: LXXI Les mésaventures d′un père. Deel 3 van 7):
Verhaal nummer 16, pagina 21.

         

In het Frans:

Il s′en alla chez son autre fille, suivi de sa femme. Ils parvinrent chez leur troisième fille, toute heureuse, elle aussi, de les accueillir. Quand vint le moment d′aller se coucher, elle dit: “Pappa, notre vache est malade; couche-toi près d′elle. Tiens, voici un couteau, si tu l′entends frapper du pied, égorge-la; surtout, ne la laisse pas crever!” il se coucha à côté de la vache, et fut réveillé dans la nuit par le bruit de l′ânesse qui se roulait à terre. Il crut que c′était la vache qui frappait du pied et qu′elle allait mourir, il se leva et égorgea l′ânesse, Il ouvrait les entrailles et retira le foie qu′il fit rôtir et dont il se régala, il prit un piquet et l′enfonça dans la ventre d′une jument, croyant d′enfoncer dans le mur. Quand il fit jour, la fille vint le saluer: “Papa, as-tu passer une bonne nuit?” “Ton père n′a pas dormi tant qu′il n′eût mangé son foie!” Elle jeta un coup d′oeil autour d′elle: elle trouva l′ânesse égorgé, la vache crevée et la jument éventrée. Elle se fâcha et s′écria: “Père, quelle honte pour nous aux yeux des gens” “Rends mon fusil, lui dit-il, le mien, quant à toi tu n′est pas ma fille!”

         

Ik kan de tekst hieronder niet op juistheid controleren. Het is de transcriptie van het vertelde verhaal in het Berbers (Ntifa). Het verhaal werd verteld aan de Franse onderzoeker Emile Laoust door H. Djïkli in 1922. De transcriptie van zijn verhaal staat hieronder. Ik hoop met het afdrukken van deze tekst de Tamazigt sprekers een plezier te doen.

         

In Tamazigt: