Uit: Emile Laoust:
Contes berbères du Maroc, 1949, uitgeverij. Larosse,
verhaal: LXXI Les mésaventures d′un père. Deel 5 van 7):
Verhaal nummer 16, pagina 21.
In het Frans:
Il arriva chez son autre fille, la cinquième. Son gendre était hajj; il le fit monter dans la grande salle où on leur servit du pain et de la bouillie de fèves. il s′en empiffra, puis alla se coucher à côté du hajj. Au milieu de la nuit, il fut pris de coliques et voulait sortir. Il ne sut où se poser; il prit les savates du hajj et les remplit, il prit aussi son terbouch et le lui remplit; il descendit les marches de l′escalier et y répandit ce qui lui restait., puis regagna sa place et se rendormit. Quand l′aurore parut, sa fille apporta l′eau des ablutions pour la prière de son mari, elle monta l′escalier et glissa dans la chose, elle tomba et se fit mal au front. Le hajj l′entendit tomber, il se leva, mit les pieds dans ses savates et en eut jusqu′à la cheville; il mits on terbouch sur la tête et en eut jusqu′au menton. Sa fille, fort irritée, lui cria: “Papa, quelle honte pour nous! Il eût mieux valu que ne vinisses pas!” Ne comprenant pas, il répondit: “Donne mon fusil que je m′en aille; quant à toi, tu n′es pas ma fille!”
Ik kan de tekst hieronder niet op juistheid controleren. Het is de transcriptie van het vertelde verhaal in het Berbers (Ntifa). Het verhaal werd verteld aan de Franse onderzoeker Emile Laoust door H. Djïkli in 1922. De transcriptie van zijn verhaal staat hieronder. Ik hoop met het afdrukken van deze tekst de Tamazigt sprekers een plezier te doen.
In Tamazigt: